Chroniques
Les Néo-Brunswickois s’unissent pour retenir les immigrants
18 mai 2018
Le 13 juin 2017
Le Nouveau-Brunswick est actuellement confronté à la double menace d’une population vieillissante et déclinante, ce qui a entraîné une pénurie importante de travailleurs qualifiés dans la province. En plus de faire pression sur notre assiette d’imposition de plus en plus réduite, ce déséquilibre nuit aux possibilités de croissance et de concurrence des entreprises du Nouveau-Brunswick dans les économies nationales et mondiales. Le gouvernement provincial se concentre sur la formation et le rapatriement des Néo-Brunswickois, mais aussi sur l’attraction de nouveaux arrivants qualifiés dans la province.
« Le gouvernement ne ménage pas ses efforts pour créer des possibilités d’emplois, proposer un système de santé sûr et stimuler l’économie », a déclaré Donald Arseneault, ministre de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail. « Le Nouveau-Brunswick doit faire face au vieillissement et à la diminution de sa population. L’accueil de travailleurs étrangers qualifiés et le rapatriement d’anciens Néo-Brunswickois aideront la province à satisfaire ses besoins en main-d’œuvre et à stimuler l’économie. »
L’argument en faveur de l’immigration est simple : pour 1 000 nouvelles familles d’immigrants au revenu familial moyen s’installant au Nouveau-Brunswick, les dépenses de consommation augmentent de 50 millions de dollars dans la province. Le laboratoire sur l’immigration économique se penchera plus particulièrement sur la question suivante : comment pouvons-nous devenir des chefs de file dans l’attraction, l’accueil et le maintien des nouveaux arrivants afin de favoriser la croissance économique au Nouveau-Brunswick?
« Si les entreprises ne peuvent pas trouver la main-d’œuvre dont elles ont besoin dans la province, elles risquent d’être obligées de développer leurs activités en dehors de la province. Le laboratoire sur l’immigration économique nous aidera à déterminer le meilleur moyen d’attirer et de retenir les nouveaux arrivants au Nouveau-Brunswick pour assurer la création d’emplois stables pour tous », indique Adrienne O’Pray, directrice générale du Conseil d’entreprises du Nouveau-Brunswick
NouLAB, le laboratoire de l’innovation publique et sociale du Nouveau-Brunswick, lance un laboratoire provincial sur l’immigration économique. Un laboratoire social est une approche multidimensionnelle destinée à faciliter les processus afin d’aider quiconque, que ce soit des particuliers ou des groupes multilatéraux, à aborder des problèmes complexes. Le laboratoire réunira des entreprises, des organismes d’établissement, tous les ordres de gouvernement et les nouveaux arrivants dans le but de collaborer sur la manière dont nous pouvons devenir des chefs de file dans l’attraction, l’accueil et le maintien des nouveaux arrivants au Nouveau-Brunswick.
« Il n’est pas exagéré de dire que l’avenir de notre province repose sur notre capacité à gérer les dossiers de l’immigration et du multiculturalisme. Que vous souhaitiez renforcer votre main-d’œuvre, vendre des biens immobiliers, remplir des salles de classe ou stimuler la croissance économique, tous ces sujets sont liés à l’immigration », indique Alex LeBlanc, directeur général du Conseil multiculturel du Nouveau-Brunswick et membre du Conseil de direction du laboratoire sur l’immigration. « Des personnes de divers secteurs font entendre leurs voix pour signaler que l’immigration est essentielle pour nos entreprises ainsi que notre collectivité, et que la mission du laboratoire est de présenter les meilleurs moyens dont ces intervenants disposent pour participer à ces efforts collectifs », ajoute-t-il.
Citation de Thomas Raffy, président-directeur général du Conseil économique du Nouveau-Brunswick inc. (CENB) : «Lors de notre dernière consultation sur le thème des besoins en main-d'oeuvre, nos membres nous ont indiqué l'immigration économique comme une priorité pour le CÉNB. Nos besoins en main-d'oeuvre qualifiée ont un réel impact sur la compétitivité de nos entreprises, la productivité de leurs employés, les coûts généraux d'exploitation, et ultimement sur la vitalité de nos communautés. Ce laboratoire aura pour objectif principal de réunir les entreprises et autres parties prenantes dans le développement économique de nos communautés, et surtout d'offrir une plateforme dans le but de trouver des pistes de solutions à nos défis de décroissance démographique, d'accès et rétention à la main-d'oeuvre qualifiée. C'est en collaborant que nous serons capables de répondre aux besoins de nos entreprises et nos communautés.»
Le laboratoire est soutenu par le gouvernement du Nouveau-Brunswick, le Conseil d’entreprises du Nouveau-Brunswick, le Conseil multiculturel du Nouveau-Brunswick, le Conseil économique du Nouveau-Brunswick inc., la Ville de Moncton et l’Association francophone des municipalités du Nouveau-Brunswick.
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Renseignements :
Thomas Raffy, président-directeur général
Conseil économique du Nouveau-Brunswick inc. (CÉNB)
(506) 857-3143
Le Nouveau-Brunswick est actuellement confronté à la double menace d’une population vieillissante et déclinante, ce qui a entraîné une pénurie importante de travailleurs qualifiés dans la province. En plus de faire pression sur notre assiette d’imposition de plus en plus réduite, ce déséquilibre nuit aux possibilités de croissance et de concurrence des entreprises du Nouveau-Brunswick dans les économies nationales et mondiales. Le gouvernement provincial se concentre sur la formation et le rapatriement des Néo-Brunswickois, mais aussi sur l’attraction de nouveaux arrivants qualifiés dans la province.
« Le gouvernement ne ménage pas ses efforts pour créer des possibilités d’emplois, proposer un système de santé sûr et stimuler l’économie », a déclaré Donald Arseneault, ministre de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail. « Le Nouveau-Brunswick doit faire face au vieillissement et à la diminution de sa population. L’accueil de travailleurs étrangers qualifiés et le rapatriement d’anciens Néo-Brunswickois aideront la province à satisfaire ses besoins en main-d’œuvre et à stimuler l’économie. »
L’argument en faveur de l’immigration est simple : pour 1 000 nouvelles familles d’immigrants au revenu familial moyen s’installant au Nouveau-Brunswick, les dépenses de consommation augmentent de 50 millions de dollars dans la province. Le laboratoire sur l’immigration économique se penchera plus particulièrement sur la question suivante : comment pouvons-nous devenir des chefs de file dans l’attraction, l’accueil et le maintien des nouveaux arrivants afin de favoriser la croissance économique au Nouveau-Brunswick?
« Si les entreprises ne peuvent pas trouver la main-d’œuvre dont elles ont besoin dans la province, elles risquent d’être obligées de développer leurs activités en dehors de la province. Le laboratoire sur l’immigration économique nous aidera à déterminer le meilleur moyen d’attirer et de retenir les nouveaux arrivants au Nouveau-Brunswick pour assurer la création d’emplois stables pour tous », indique Adrienne O’Pray, directrice générale du Conseil d’entreprises du Nouveau-Brunswick
NouLAB, le laboratoire de l’innovation publique et sociale du Nouveau-Brunswick, lance un laboratoire provincial sur l’immigration économique. Un laboratoire social est une approche multidimensionnelle destinée à faciliter les processus afin d’aider quiconque, que ce soit des particuliers ou des groupes multilatéraux, à aborder des problèmes complexes. Le laboratoire réunira des entreprises, des organismes d’établissement, tous les ordres de gouvernement et les nouveaux arrivants dans le but de collaborer sur la manière dont nous pouvons devenir des chefs de file dans l’attraction, l’accueil et le maintien des nouveaux arrivants au Nouveau-Brunswick.
« Il n’est pas exagéré de dire que l’avenir de notre province repose sur notre capacité à gérer les dossiers de l’immigration et du multiculturalisme. Que vous souhaitiez renforcer votre main-d’œuvre, vendre des biens immobiliers, remplir des salles de classe ou stimuler la croissance économique, tous ces sujets sont liés à l’immigration », indique Alex LeBlanc, directeur général du Conseil multiculturel du Nouveau-Brunswick et membre du Conseil de direction du laboratoire sur l’immigration. « Des personnes de divers secteurs font entendre leurs voix pour signaler que l’immigration est essentielle pour nos entreprises ainsi que notre collectivité, et que la mission du laboratoire est de présenter les meilleurs moyens dont ces intervenants disposent pour participer à ces efforts collectifs », ajoute-t-il.
Citation de Thomas Raffy, président-directeur général du Conseil économique du Nouveau-Brunswick inc. (CENB) : «Lors de notre dernière consultation sur le thème des besoins en main-d'oeuvre, nos membres nous ont indiqué l'immigration économique comme une priorité pour le CÉNB. Nos besoins en main-d'oeuvre qualifiée ont un réel impact sur la compétitivité de nos entreprises, la productivité de leurs employés, les coûts généraux d'exploitation, et ultimement sur la vitalité de nos communautés. Ce laboratoire aura pour objectif principal de réunir les entreprises et autres parties prenantes dans le développement économique de nos communautés, et surtout d'offrir une plateforme dans le but de trouver des pistes de solutions à nos défis de décroissance démographique, d'accès et rétention à la main-d'oeuvre qualifiée. C'est en collaborant que nous serons capables de répondre aux besoins de nos entreprises et nos communautés.»
Le laboratoire est soutenu par le gouvernement du Nouveau-Brunswick, le Conseil d’entreprises du Nouveau-Brunswick, le Conseil multiculturel du Nouveau-Brunswick, le Conseil économique du Nouveau-Brunswick inc., la Ville de Moncton et l’Association francophone des municipalités du Nouveau-Brunswick.
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Renseignements :
Thomas Raffy, président-directeur général
Conseil économique du Nouveau-Brunswick inc. (CÉNB)
(506) 857-3143